Ibrahim Maalouf 1:19
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Solène Leroux , modifié à
L'artiste Ibrahim Maalouf sort un nouvel album, "Capacity to love", "très très riche en collaborations" puisqu'il y aura de un à trois invités par chanson. Dans "Culture Médias" jeudi, le trompettiste a révélé qu'une star américaine se trouvait parmi les guests, et elle clôt même l'album par un poème.
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"Je ne me repose pas beaucoup, mais j'ai la chance de faire un métier que j'aime. Alors, je travaille sans compter." Une passion pour son travail qu'Ibrahim Maalouf a mis au profit de son dernier album. Le producteur et compositeur franco-libanais sort Capacity to Love. Sa particularité : "Il y aura un, deux ou trois invités par chanson", confie l'artiste au micro d'Olivier Benkemoun dans Culture Médias. "C'est un album qui est très très riche en collaborations, je crois que je n'ai jamais fait d'album avec autant de collaborations", confirme Ibrahim Maalouf, avant de révéler un "scoop".

"Il y a même Sharon Stone qui pose un poème à la fin", elle "clôt mon album", détaille Ibrahim Maalouf. "On rentre via le discours du dictateur de Charlie Chaplin, dans son film Le Dictateur, et on termine avec Sharon Stone qui conclut avec un texte qu'elle a écrit elle-même pour l'album". Selon lui, "on rentre dans un monde cinématographique dans lequel il y a un idéal du monde dans lequel j'aimerais vivre, ce monde où on est tous capables de nous aimer malgré nos différences". Un thème que l'on retrouve tout au long de l'album.

Une connaissance commune

Revenant sur l'origine de la collaboration avec la célèbre actrice de Basic Instinct, l'artiste explique "qu'elle suivait [son] compte Instagram, comme elle suit beaucoup de comptes". De temps en temps, l'Américaine laisse quelques commentaires sous les publications d'Ibrahim Maalouf. "Je lui ai répondu une fois en lui disant : 'Merci, c'est vraiment vous ? De là est né un lien", narre-t-il.

Les deux personnalités ont également une connaissance en commun. "Elle connaît aussi bien Quincy Jones, avec qui je travaille depuis quelques années maintenant, et dont la boîte me manage aux États-Unis", raconte-t-il. "Je l'ai contacté, je lui ai fait écouter une musique. Elle m'a dit : 'J'adore, je peux poser un texte là-dessus ?'" Et "évidemment", conclut le trompettiste, il a accepté.