"La fête des mères", c'est une ode aux mamans, mais aussi aux femmes quelles qu’elles soient. La réalisatrice dresse le portrait de plusieurs d'entre elles. Avec d'abord Audrey Fleurot qui joue une femme présidente de la République, et qui tombe enceinte et accouche pendant son mandat. Elle doit alors gérer ses responsabilités et le baby blues.
"C’est un rêve de mère d’être aimée à ce point". Il y a aussi une mère ingrate, jouée par Marie-Christine Barrault. Une journaliste, c'est Clotilde Coureau, pour qui sa carrière passe bien avant ses enfants. Et encore Nicole Garcia, mère mais surtout actrice de théâtre dans le film que son fils, Vincent Dedienne, ne veut pas lâcher : "il m’étouffe, il m’aime tellement. C’est un rêve de mère d’être aimée à ce point par un enfant qui ne veut pas s’éloigner. Heureusement que je le force à s’émanciper et à me foutre la paix".
"La fête des mères" est donc un film choral, tendre, qui nous ramène tout à nos liens familiaux, nos relations avec nos mamans, mais aussi avec nos papas. Pour compléter le tableau, la réalisatrice filme aussi la femme qui ne veut pas être mère, jouée par Olivia Cote : "moi, j’aurai voulu être un père, parce qu’on est plus indulgent avec les pères".
>> La bande-annonce du film :