"Good Singers" : à quoi ressemble le nouveau jeu de TF1, présenté par Jarry ?

"J'ai d'abord pensé que c'était une blague", sourit Jarry. Vendredi soir à 21h05, les téléspectateurs pourront découvrir l'acteur et humoriste aux manettes de Good Singers, nouveau divertissement de TF1, inspiré d'un programme turc. Animateur, Jarry ? "Je suis content de ne pas être mis dans une case, de faire un peu toutes les choses qui me font envie, qui me font rire, qui m'apportent du bonheur au quotidien", explique-t-il au micro de Pascale Clark, sur Europe 1. 

Une émission de chant sans élimination

"Ce n'était pas quelque chose qui était évident pour moi au départ", reconnaît toutefois Jarry. "J'avais envie de trouver quelque chose qui corresponde à un format que l'on peut trouver en télé : une émission populaire que l'on peut regarder en famille, quelque chose qui soit 'feel good'. Je n'avais pas envie d'un concours, de gens éliminés, de gens tristes."

Alors, à quoi ressemblera Good Singers ? Douze candidats, anonymes, se présentent lors de chaque émission. "Parmi eux, il y a des médecins, des parfumeurs, des vendeurs de voitures...", liste Jarry. "Et face à eux, il y a deux équipes de trois célébrités, qui jouent chacune pour une association. Ils doivent trouver, au terme d'une enquête menée en cinq étapes, des indices (vocaux ou visuels) pour déterminer qui est un bon chanteur et qui est un mauvais chanteur" parmi ces inconnus. Et ce sans les entendre chanter avant d'avoir donné la réponse. 

"Je n'avais pas envie de jouer l'animateur"

"On va être émus, on va être surpris, on va, j'espère, chanter des chansons", résume le désormais animateur, ravi d'incarner une tranche en prime time et qui se souvient : "Quand j'ai voulu faire de la télé on m'a dit 'tu vas voir, tu vas cliver, tu vas faire peur...'" Alors, lorsque TF1 lui a proposé d'animer cette émission, l'acteur n'a fixé qu'une condition : rester fidèle à lui-même. 

"Je me suis dit : on me prend comme je suis. Je n'avais pas envie de jouer l'animateur, parce que je pense que c'est un métier", explique-t-il. "J'avais envie d'arriver avec mon énergie, ma folie. Et surtout, ce qui m'intéressait, c'est d'être au service d'une émission. Je n'étais plus le trublion qui mettait l'ambiance, (...) j'ai trouvé ça très intéressant. J'ai adoré mettre les gens en lumière, j'ai trouvé ça super d'être celui qui passe les plats sans avoir à défendre quelque chose."