Virée par SMS, elle réclame des indemnités

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Une vendeuse a été licenciée via un SMS en février 2009, à Nîmes, rapporte Midi Libre mercredi. Depuis, le jeune femme est allée devant les prud'hommes, demandant à la justice de prononcer la résiliation judiciaire de son contrat de travail. Elle réclame également 67 500 € à son employeur. Depuis février 2009, la vendeuse ne peut toujours pas bénéficier de l'assurance chômage, l'Assedic considérant qu'elle est toujours employée.