Législatives : il manquait des assesseurs, des bureaux de vote ont ouvert en retard

A Bondy, en Seine-Saint-Denis, la moitié des 30 bureaux de vote de la ville n’ont également pas pu ouvrir leurs portes à 8h
A Bondy, en Seine-Saint-Denis, la moitié des 30 bureaux de vote de la ville n’ont également pas pu ouvrir leurs portes à 8h © AFP
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Certains bureaux de vote n'ont pas pu ouvrir à 8h, dimanche, pour le second tour des législatives. Dans certains bureaux, les assesseurs n'étaient pas assez nombreux.

Couacs en série dans plusieurs bureaux de vote lors du second tour des législatives. Certains bureaux ne comptaient pas assez d'assesseurs pour pouvoir ouvrir dans les temps. La raison ? Certains n'ont tout simplement pas été désignés par les partis qualifiés pour le second tour, d'autres ont oublié de venir, rapporte dimanche FranceInfo. 

Il manquait un assesseur. La situation s'est notamment produite à Fontenay-sous-Bois, dans le Val-de-Marne. La présidente du bureau n'a donc pas pu ouvrir son bureau à 8h car un parti présent au second tour "n'a fourni personne", explique FranceInfo. Or pour tenir un bureau de vote, il faut au minimum un président et deux assesseurs. Finalement, un "camarade" est arrivé et le bureau a pu ouvrir quelques minutes plus tard.

La moitié des bureaux concernés à Bondy. A Bondy, en Seine-Saint-Denis, la moitié des 30 bureaux de vote de la ville n’ont également pas pu ouvrir leurs portes à 8h, détaille Le Parisien, dimanche. Et il a fallu attendre 10h pour que la situation revienne à la normale après la réquisition d'élus municipaux.

A Lyon aussi. D'autres électeurs ont du attendre pour accéder à leur bureau de vote à Chilly-Mazarin, dans l'Essonne ou encore à Lyon, dans le bureau de vote numéro 209. "Pas d'assesseurs, pas d'ouverture du bureau", a twitté l'adjointe au maire du 2e arrondissement de Lyon. Un renfort lui a été envoyé quelques minutes plus tard.