Nicolas Sarkozy, en meeting jeudi à Toulon, a affirmé que "la France quittera l'Afghanistan quand elle aura fini le travail". "Partir avant c'est un renoncement, une lâcheté, un manquement à la parole de la France", a estimé le président-candidat.
"Je veux dire que j'ai engagé la France aux côtés de nos alliés européens et américains pour libérer l'Afghanistan du cancer du terrorisme", a-t-il ajouté. "Je n'accepterai pas que la France renonce à sa parole et parte piteusement alors que le travail n'est pas fini là où nous nous sommes engagés".