Anne-Sophie Lapix sur son arrivée à France 2 : "Je n'ai pas le sentiment qu'il y ait eu de la méfiance"

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A.D , modifié à
Au micro d'Europe 1, la journaliste est revenue sur ses premières semaines aux commandes du JT de 20h sur France 2.
INTERVIEW

Dans le milieu des médias, Anne-Sophie Lapix a fait l'objet du plus gros transfert de l'été, en quittant C à vous sur France 5 pour s'installer dans l'ancien fauteuil de David Pujadas, au 20h de France 2. Elle était l'invitée de Philippe Vandel mardi dans l'émission Village Médias, après quelques semaines aux commandes du rendez-vous phare de l'info.

"Pas de problème avec la rédaction". Avec un léger recul depuis son arrivée, elle estime "ne pas avoir eu de problème avec la rédaction. Je n'ai pas le sentiment qu'il y ait eu de la méfiance, de la défiance" envers elle. "J'ai été séduite par la capacité de travail, la réactivité." Anne-Sophie Lapix assure ne pas avoir le regret de sa vie d'avant. "Ce n'est pas mon mode de fonctionnement de regretter mes anciennes vies. J'ai souvent changé, tous les quatre ou cinq ans, et je suis toujours convaincue que c'est ce qu'il fallait que je fasse, heureusement. C'est passionnant, j'apprends encore énormément de choses."

Ouverture avec un sonore. Ce qui caractérise son JT, c'est une ouverture sur une voix de reportage. "C'est le premier choix que j'ai fait, de mettre le sonore de l'actu du jour en premier, je trouve ça assez fort, pour ensuite faire les titres et ensuite seulement dire bonjour." Un choix qui a pu surprendre les téléspectateurs le premier soir, où elle avait battu la concurrence TF1, effet de curiosité certes aidant.

"Ce n'était pas mon choix". Mais toutes les décisions ne lui appartiennent pas. Revenant sur le journal de lundi soir, lors d'un hommage à Jean Rochefort, la journaliste confie néanmoins avoir "été un peu embarrassée" de la séquence dans laquelle elle rappelle avoir reçu l'acteur. "On l'avait reçu", a-t-elle ainsi annoncé, avant la diffusion d'images de l'acteur dans... C à vous. "Ce n'était pas mon choix", glisse-t-elle.