La plateforme de VTC Uber a dénoncé vendredi des "actes de violence, menaces et blocages" commis lors du mouvement social en cours de chauffeurs et dit refuser de discuter dans ces conditions avec les syndicats organisateurs. "Face à des telles violences et menaces, les conditions d'une discussion ne sont en aucun cas réunies", affirme la filiale française de l'entreprise américaine dans un communiqué, au moment où une délégation de chauffeurs devait être reçue au secrétariat d'Etat aux Transports.