La direction du voyagiste français Fram, en difficulté depuis des années, n'a pas exclu vendredi certaines suppressions de postes dans le cadre d'un nouveau plan stratégique mais a catégoriquement démenti vouloir supprimer plus de 300 emplois comme évoqué dans la presse.
"Nous démentons catégoriquement" les chiffres de 300 à 350 suppressions de postes avancés par le site d'information spécialisé Tourmag.com, a déclaré à l'AFP un porte-parole. Le voyagiste, dont le siège est à Toulouse, compte de 3.500 à 4.000 salariés, dont quelque 650 en France. La moitié d'entre eux sont employés par la maison-mère, le tour operator, et l'autre par sa filiale de distribution.
La direction présentera le 13 juillet lors d'un CE extraordinaire de la maison-mère son plan stratégique en cours de finalisation, baptisé Fram 2015. Il a pour but de "faire en sorte que l'entreprise soit plus performante dans un monde qui bouge", d'après le porte-parole.