Le comité de candidature de Paris à l'organisation des JO 2024 a dévoilé la liste des sites retenus par accueillir les compétitions, en cas de succès.
Du beach volley sur le Champ-de-Mars, au pied de la Tour Eiffel, c'est encore de la fiction. Mais ce décor (sportif) de carte postale pourrait bien devenir réalité, en cas de succès de la candidature parisienne pour les JO 2024. Le comité de candidature de Paris a dévoilé mercredi la liste des sites retenus par accueillir les compétitions. Sur ces 36 sites, 26 existent déjà, deux restent à construire (la piscine et la deuxième arena de Bercy), tandis que les autres seront temporaires. De célèbres monuments de la capitale française pourraient être mis à contribution. Europe 1 vous donne, images à l'appui, une idée de ce que pourraient donner les JO 2024 à Paris.
Le Champ-de-Mars pourrait accueillir les épreuves de beach volley. Capacité : 12.000 places. (Photos DR)
Les épreuves de tir à l'arc sont prévues sur l'esplanade des Invalides. Capacité : 6.000 places.
Toujours une photo des épreuves de tir à l'arc, sur l'esplanade des Invalides.
La majestueuse verrière du Grand Palais accueillerait l'escrime et le taekwondo. Capacité : 7.000 places.
Une des photos les plus impressionnantes du dossier : les éventuelles épreuves d'équitation auraient lieu dans le cadre royal du château de Versailles. Capacité : 20.000 places assises + 80.000 debout
Toujours une photo du château de Versailles.
Quoi de mieux qu'un Roland-Garros rénové pour accueillir les épreuves de tennis ? Capacité : 15.000 places.
Le stade de France, bien évidemment, ferait office de stade olympique. L'enceinte dyonisienne accueillerait les cérémonies d'ouverture, de clôture ainsi que les épreuves d'athlétisme. Capacité : 80.000 places.
Le tout nouveau Vélodrome national de Saint-Quentin-en-Yvelines pourrait, lui, accueillir les épreuves de cyclisme sur piste, de pentathlon moderne et de BMX. Capacité : 5 à 6.000 places.
Enfin, voici une vue de l'éventuel futur village olympique. Il serait construit, sur 50 hectares, en Seine-Saint-Denis. Il aurait vocation à être reconverti en logements sociaux après les JO.