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Inès Zeghloul, édité par Gauthier Delomez / Crédits photo : Riccardo Milani / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP , modifié à
Le jour du réveillon de Noël, le 24 décembre, est toujours d'abord celui des retardataires qui font les courses pour les fêtes. Au milieu des grandes files d'attente, Europe 1 a visité plusieurs étals parisiens, en quête de ce qui se fait de mieux pour gâter les proches lors du repas.

Vous cherchez encore des produits pour le réveillon de Noël ce dimanche 24 décembre ? Europe 1 a suivi des retardataires en pleines courses, à la recherche de ce qui se fait de meilleur pour gâter les proches lors du repas. Dans un marché parisien, il y avait déjà une grosse affluence dimanche matin, et les clients slalomaient entre les étals. "Je suis venue chercher une commande de crustacés parce qu'on achète toujours les fruits de mer le jour-même", indique une première cliente au micro d'Europe 1.

"Des olives, du tarama...", pour un autre visiteur, "parce qu'en semaine, on n'a pas forcément le temps. Donc, le jour-même, le dimanche, c'est pratique", reconnait-il.

Un saumon fumé, "valeur sûre" en entrée

Dans son sac de courses, la reporter d'Europe 1 a opté pour "une valeur sûre" en entrée, des produits de la mer, et interroge une poissonnière. "Je vous conseille notre saumon fumé que nous faisons en saumon écossais sauvage. Il est fumé à la ficelle et il est sorti du fumoir cette nuit", explique la professionnelle à Europe 1. Pour le repas, il est possible d'accompagner ce poisson avec de la crème fraîche, de la ciboulette, et de l'aromatiser à la vodka.

Pour le plat de résistance, direction une boucherie artisanale où Lucie donne des conseils entre les clients retardataires. "La plupart ont déjà commandé, le reste, ils vont venir en dernière minute pour prendre une volaille. C'est surtout les volailles, rôtis de chapon, de pintade... Tout ce qui est rôti de bœuf aussi pour faire un Wellington", énumère cette salariée. Qui souligne que "Noël est la plus grosse période de l'année. On fait l'équivalent de deux semaines en une semaine, donc niveau horaires, boulot, il y a énormément de travail. On est à fond, au top !"

La reporter a choisi de ramener un foie gras, affiché à 150 euros le kilo. Enfin, dernière escale au pays du Père Noel pour une assiette de fromage. Il y avait d'ailleurs une grande file d'attente chez le fromager dans la matinée. A la clé, un succulent brie à la truffe. Pour le dessert, une bûche, évidemment, pourquoi pas à l'image de celle du palace Lutetia à Paris, à découvrir par ici.