Quick d’Avignon : l’ex-gérant se défend encore

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"Il n'y a pas de lien de causalité, on en est loin". Par la voix de son avocat, Me Vincent Piquet-Gautier, l’ancien gérant du Quick d'Avignon mis en cause pour "homicide involontaire" après la mort d’un adolescent de 14 ans le 21 janvier, s’est une nouvelle fois défendu, devant la justice, lors d’une audience en référé concernant un aspect administratif du dossier, indique le quotidien La Provence. "Aucune souche n'a été identifiée et les causes de la mort ne sont pas établies, contrairement à ce qu'a annoncé le procureur d'Avignon", a martelé l’avocat du gérant.

La procureure de la République d'Avignon, Catherine Champrenault, avait indiqué le 18 février dernier que "la synthèse des rapports médico-légaux permettait de conclure que l’adolescent est décédé d'une toxi-infection alimentaire, liée à l'absorption d'un repas pris quelques heures avant sa mort.