Lundi, Carlos Ghosn, patron de Renault, a fait son mea culpa, dans l'affaire d'espionnage présumé, qui a conduit le groupe à licencier injustement trois de ses cadres. Il a également annoncé, au journal de 20 Heures de TF1, qu'il renonçait à ses bonus, et a concédé que son groupe s'était "précipité".