L'ancien Premier ministre, Dominique de Villepin a estimé mercredi que la suspension du bouclier fiscal relevait du "bon sens". Dominique de Villepin a souligné le fait que les "Français, à un moment où on demande plus d'efforts à chacun, sont en droit d'avoir une juste répartition des efforts". Il a également rappelé que "son" bouclier fiscal était plafonné à 60% et que depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir, le plafond a été abaissé à 39%. "Ils ont intégré la CSG et la CRDS ce qui fait un bouclier fiscal à 39% : entre 60% qui était l'idée initiale et 39%, il y a un décalage immense" déplore l'ancien Premier ministre.