Après les douze coups de minuit vendredi, adieu tweets, posts sur Facebook et autres envois de newsletter. C'est ce que demande la Commission nationale de contrôle de la campagne électorale aux candidats, lundi soir dans un communiqué.
Les dispositifs d'actualisation automatique désactivés
Dans le détail, le communiqué stipule qu'à compter du vendredi 20 avril à minuit, la campagne électorale officielle en vue du premier tour prend fin et que "toute action de campagne et tout acte de propagande à visée électorale sont interdits sur l'ensemble du territoire de la République".
Même les dispositifs d'actualisation automatique des sites internet des candidats devront alors être désactivés.
Les noms des contrevenants transmis à la justice
Gare à ceux qui briseraient le silence numérique : une liste des contrevenants sera établie et communiquée à la Justice. La loi prévoit une amende de 75.000 euros en cas d'infraction.
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