masterchef TF1 1:25
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Louise Douillet, édité par Juliette Moreau Alvarez
Après sept ans d'absence, l'emblématique émission culinaire "Masterchef" revient sur le petit écran. Petit lifting pour le jeu télévisé : "Masterchef" fait son grand retour cette fois sur le service public, avec une nouvelle présentatrice et surtout sous un nouveau format, plus bienveillant et éco-responsable.

Nouvelle chaîne, nouveau jury, nouvelle animatrice, nouveau format… L'émission Masterchef s'est refaite une beauté. Après sept ans d'absence, le célèbre concours culinaire revient sur nos téléviseurs. Diffusé dès mardi soir sur France 2, le programme s'est mis en phase avec son époque.

Une émission plus bienveillante et responsable

À la présentation, c'est Agathe Lecaron, l'actuelle présentatrice de la Maison des Maternelles, qui remplace Sandrine Quétier pour lancer et chronométrer les épreuves.

Le jury est quant à lui composé de têtes connues pour les anciens fans : on retrouve Yves Camdeborde, déjà présents lors des précédentes saisons, mais aussi Georgiana Viou, finaliste de la première édition de l'émission. Les passionnés d'émissions culinaires reconnaitront également Thierry Marx, ancien jury de l'émission concurrente "Top Chef".

Le plus gros changement sera visible dès la première émission : fini la phase de pré-sélection des candidats lors de laquelle une centaine de personnes s'affrontaient sur le ciselage d'un oignon. Seuls 18 candidats seront dans la course dans un premier temps, avant la sélection finale. Il n'en restera que neuf pour concourir lors de la prochaine émission.

Le jeu mise sur l'éco-responsabilité

En phase avec son temps, le jeu mise sur l'éco-responsabilité des produits de saison, des aliments en vrac avec un composteur dans un coin de la cuisine et plusieurs épreuves comme réaliser un plat sans produire de déchets.

Enfin, "Masterchef" aura moins d'esprit de compétition et plus de bienveillance. Le jury a bien sûr pour rôle de classer les candidats, mais aussi de leur transmettre les bonnes techniques. À la clé cette année, un chèque de 100.000 euros et le titre de meilleur cuisinier amateur de France.