Un stylo-bille dans une tarte aux pommes, la drôle de «fève» découverte par un client d'un supermarché

tarte aux pommes
Un client d'un supermarché a trouvé un stylo-bille dans une tarte aux pommes industrielle (Illustration) © Loic Nicoloso / Mood4Food / foodcollection via AFP
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Philippe Folgado // Crédit photo : Loic Nicoloso / Mood4Food / foodcollection via AFP
Un père de famille n'imaginait pas faire une telle découverte. En dégustant une tarte aux pommes industrielle, il découvre un stylo-bille encore rempli d'encre. L'enseigne Leclerc décline toute responsabilité au titre que "les tartes n'étaient pas fabriquées sur place", mais simplement réchauffées avant d'être vendues. 

C'est une "fève" qu'un père de famille se souviendra longtemps. Un habitant de la commune de Léguillace-de-L'Auche, en Dordogne, dit avoir découvert un stylo-bille dans une tarte aux pommes industrielle, achetée dans le supermarché Leclerc de Saint-Astier, le 23 janvier dernier, indiquent nos confrères de Sud Ouest

Un remboursement et un bon d'achat comme dédommagement

Comme à son habitude, il s'est rendu dans ce supermarché pour y faire ses courses. Il achète une tarte, fournie dans un moule en aluminium. C'est au moment de la consommer qu'il découvre, "coincé entre la pâte et le moule", un stylo orange, encore rempli d'encre, et légèrement déformé à cause de la chaleur. "Nous avons d'abord cru à une fève glissée par erreur", confie le père de famille d'une quarantaine d'années. Cherchant des explications, il est reçu par les responsables en charge de la sécurité et de l'hygiène de l'enseigne. 

Le supermarché Leclerc décline toute responsabilité au titre que "les tartes n'étaient pas fabriquées sur place", mais par un prestataire. Elles ne sont que réchauffées avant d'être vendues. La direction s'est néanmoins engagée à faire "remonter le problème à l'entreprise Pasquier", fournisseur de la tarte en question. Le client a été remboursé de son achat et s'est vu offrir un bon d'achat de dix euros à utiliser dans le supermarché. Un geste commercial qu'il n'estime pas suffisant.