Le sacrifice d’une mère

Nous sommes en Allemagne dans les années 70. Après 3 jours sans nouvelles de sa mère, le jeune Monsieur Dollerer prévient la police qui se rend à son domicile pour la retrouver morte, le corps atrocement mutilé de coups de couteau. Plusieurs choses interpellent l’enquêteur : Des gouttes de sang au pied du lit, une relation conflictuelle avec son fils, un locataire transi d’amour rejeté par Madame Dollerrer et la prédiction étrange qu’elle avait elle-même formulée avant son décès : Mon assassin aura les yeux noirs. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

En Allemagne pendant six années, une série de lettres anonymes injurieuses et calomnieuses, rédigées à la machine à écrire par un mystérieux "corbeau", a causé de graves dommages à plusieurs personnages respectables de la ville, notamment le docteur Schaeffer, des institutrices et une secrétaire de justice. Malgré les efforts de l'inspecteur Lorenz pour démasquer le coupable, l'enquête s'avère extrêmement difficile, fastidieuse et complexe. L’expert en machines à écrire dépêché pour l’enquête reconnaît les caractères sur un document du palais de justice et la piste se rétrécit enfin : Qui est le corbeau ? Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

France de 1938, Monsieur et Madame Guéret sont un couple moyen dont l’intimité a très vite laissé la place à une belle-mère envahissante. Les disputes s'enchaînent et le couple semble vivre sa vie chacun de con côté, Monsieur Guéret se prenant même le luxe d’une maîtresse. Jusqu’au jour où il demande à Madame Guéret de divorcer avec violence et menaces. Dans les temps qui suivent, cette dernière tombe malade et le médecin détecte des traces d’arsenic dans son organisme. Monsieur Guéret est-il prêt à tout pour se débarrasser d’elle ? Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Cette histoire est si connue qu’elle a fait l’objet d’un film “les noces rouges” de Claude Chabrol. Elle met en scène une liaison entre Bernard et Yvette. Cette dernière est mariée à René, un homme simple, peut-être trop simple pour elle alors qu’elle brûle de passion et d’envies plus grandiloquentes que la vie simple qu’il lui offre.Quant à Bernard il est marié à Ginette, une petite femme maladive, il n’est pas heureux et aspire à mieux. Ayant appris qu’Yvette pouvait toucher une grosse somme d’argent si jamais son mari venait à mourir, Bernard échafaude un plan. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes dans la France occupée par les allemands, c’est la guerre dehors mais aussi derrière les grillages de certaines petites maisons. Monsieur Merlin n’est pas un homme gentil ni tendre. Il brutalise sa femme et ses deux enfants car il boit. Mais 5 coups de machettes ont eu raison de lui et lorsque l’inspecteur Tabarth interroge sa famille, c’est la mère qui avoue le crime. Protéger ses enfants semble être le motif de ce crime et les jurés seront probablement cléments avec cette mère de famille. Pourtant, lorsqu’il demande à examiner le corps, l’inspecteur Tabarth s'aperçoit qu’il aurait fallu une grande force pour réussir à sectionner la colonne vertébrale de Monsieur Merlin mais son épouse est chétive et n'aurait pas pu porter de tels coups. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes en France, dans la région d’Orléans en 1969. Ce récit fait état d’une rumeur qui a parcouru cette ville et fait trembler ses habitants, une rumeur qui a causé du tort à de nombreux commerçants de la ville. Les clients, en particulier les femmes, ne trainent pas, parlent à voix basse et même n’achètent rien la plupart du temps. Mr Dreyfus, un commerçant est tenu au courant par son employée que cette rumeur court uniquement sur les commerçants juifs de la ville : ils pratiquent la traite des blanches. Rumeur absurde ? mensongère ? ou belle et bien fondée ? Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes en Australie en 1895, et bien que ce récit mette en lumière un procès en particulier, il permet aussi de raconter l’étonnante carrière d’un homme : l’avocat Maegher. George Dean est marin, accusé à tort de tentative d'empoisonnement sur sa femme. Bien que reconnu coupable par le jury, cet avocat ambitieux, Maegher, parvient à le faire gracier en discréditant la belle-mère de Dean. Cependant, Maegher découvre plus tard que Dean était bel et bien coupable, mais choisit de ne rien dire pour préserver sa propre carrière. L'affaire prend alors une tournure politique et médiatique, avant qu'un droguiste ne révèle la vérité, mettant fin au scandale. Malgré sa condamnation, Maegher réussit à poursuivre une brillante carrière politique puisqu’il finira maire de la ville de Syndey 20 ans plus tard

Coupable du meurtre de sa première et sa seconde femme Monsieur Simcox passe aux assises mais dans l’Angleterre de 1948 la chambre des Communes vient de se prononcer contre la peine de mort et Monsieur Simcox se voit alors gracié. Reconnu cependant mentalement instable, il va tenter par la suite de tuer sa troisième épouse. L’histoire devrait plutôt s’appeler “ Comment Monsieur Simcox a échappé deux fois à la peine de mort ?” car cette histoire est celle d’un homme au tempérament possessif, agressif et violent que la justice anglaise a rattrapé et condamné une seconde fois ! Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Nous sommes dans l’Allemagne d’après-guerre en 1947. Une veuve nommée Maria est constatée morte par pendaison à son domicile vers 4h du matin par le médecin. Ce sont les deux filles de cette femme qui ont donné l’alerte, croyant au début à l’intrusion de cambrioleurs. Elles ont retrouvé le corps étendu dans la cuisine, la corde qui tenait son cou avait manifestement lâché. Le médecin constate la strangulation et l’histoire semble s’arrêter là. Pourtant, 8 ans plus tard, un policier à l’indiscutable flair va ressortir ce dossier manifestement classé suite au lapsus d’une jeune femme. Arrêtée lors d’une sorte de rafle et manifestement ivre, elle est très en colère d’avoir été gardée au commissariat alors que son amie a été relâchée et prononce une phrase surprenante qu’elle ne termine pas, se rendant sûrement compte qu’elle vient de laisser échapper un indice inculpant son amie Erna. Erna est la fille de la veuve Maria, présumée suicidée. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.

Pacifique Sud, archipel des Tuamotu. 80 atolls dont 40 habités. Ma’té, un indigène, est sorti pour sa partie de pêche quotidienne sur l’anneau extérieur de l’atoll, celui où il n’y a pas de plage. De ce côté-ci, la côte est balayée par le vent, les vagues et une houle assez forte. Il aperçoit un bateau, qui semble avoir été victime des caprices de l’Océan. Il rencontre un homme, le matelot du bateau, un certain Jean-Marie Ernoux. Il est couvert de sang et dit qu’il a cherché le propriétaire du bateau et son épouse mais ne les a pas retrouvés. Ma’té sait que de nombreux requins nagent autour des atolls et éteint les espoirs du marin en lui affirmant qu’ils ont sûrement été dévorés. L’atoll étant loin de toute civilisation, il faut 3 semaines aux autorités pour se rendre sur place et mener l’enquête. Ce qui laisse à Ma’té le temps de mener sa propre enquête… Il a remarqué un détail qui va faire toute la lumière sur cette histoire. Pierre Bellemare raconte cette extraordinaire histoire dans cet épisode du podcast "Les récits extraordinaires de Pierre Bellemare", issu des archives d’Europe 1.