Soutenu par la Légion étrangère et par Michel Drucker, un Français de 53 ans vient de parcourir 3.000 kilomètres sur un vélo d'appartement pendant la Foire de Paris.
Pascal Pich, 53 ans, vient de parcourir 3.000 kilomètres sur un vélo d'appartement pendant la Foire de Paris.
Un exploit sportif hors du commun même pour ce triathlète de l'extrême : six jours de suite à pédaler 22 heures sur 24.
Pour l'accompagner aux limites de la résistance humaine, cet ancien parachutiste a pu compter sur le soutien de deux parrains : la Légion Etrangère et Michel Drucker !
Alors pour la Légion Etrangère, on voit bien le rapport.
Mais qu’est-ce qui unit le recordman du monde d'ultra-triathlon au recordman du monde d'heure passées sur un canapé le dimanche ?
Michel Drucker est fan de vélo !
Oui, mais pas autant que Pascal Pich ! Pour information, les distances de l'ultra-triathlon sont : 36 kilomètres de natation, 1.800 kilomètres en vélo et 423 kilomètres à pied.
Le record de Pascal Pich c'est huit jours pour faire tout ça ! Pendant ce temps-là, Michel Drucker fait quand même deux émissions de télé.
Hier, notre héros a mis sur Facebook une photo de son derrière après l'exploit, le pauvre a les fesses couvertes d'hématomes.
Mais pourquoi faire des choses pareilles ?
Il répond : "J'ai besoin d'avoir mal pour me sentir vivant. J'ai peur de ne plus exister si j'arrête."
Encore une phrase que l'on pourrait imaginer dans la bouche de notre triathlète du PAF, qui repousse toujours plus loin les limites de la longévité télévisuelle.
Niveau dépassement de soi-même, sachez qu'il arrive à Pascal Pich de s'endormir pendant l'effort ! Et ça, ça lui fait plutôt un point commun avec les spectateurs de "Vivement Dimanche".
C'est une émission qui réveille !
D'ailleurs anecdote pour finir, pendant son record, Pascal Pich a reçu la visite de Michel Drucker qui l'a invité à recommencer dans son émission.
C'est le seul moment où il a failli abandonner !
Pourtant l'année prochaine, le cycliste et l'animateur devraient être tous les deux au rendez-vous.
Parce que le vélo c'est comme la télé : si on s'arrête, on tombe !
