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Une enquête avait été ouverte par le parquet de Grenoble après des affiches anonymes dans l'enceinte de Sciences Po qui accusaient nommément deux professeurs d'islamophobie. Après un relais de ce collage sur Twitter par sa section locale, l'Unef a exprimé ses "regrets". Sa présidente réaffirme cependant sur Europe 1 son engagement contre l'islamophobie.