Le 23 août 1933, Violette Nozière retrouve ses parents inanimés dans leur appartement à Paris : le père est mort mais la mère a juste perdu connaissance. Le robinet de gaz est ouvert en grand et l’enquête hésite tout d’abord entre un suicide et un accident…
Bibliographie :
• « Violette Nozière, la célèbre empoisonneuse des années 30» de Bernard Hautecloque (Normant, 2010)
• « Violette Nozière, la fleur du mal » d’Anne-Emmanuelle Demartini (Champ Vallon, 2017)
• « Violette Nozière, la fille aux poisons » de Véronique Chalmet (Flammarion, 2004)