Limiter l'étalement urbain d'ici 2050 : c'est la volonté de la loi "zéro artificialisation nette". Objectif : préserver la capacité d'absorption du CO2 du sol et la biodiversité. Mais la tache s'annonce ardue pour les villes et les villages, qui devront dans le futur "compenser" toute nouvelle construction sur un terrain naturel.
«Il y a un vrai problème d'outillage» : le casse-tête des élus face au principe de «zéro artificialisation nette»
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