Charles Beigbeder, secrétaire national de l'UMP à "la pédagogie de la réforme", a expliqué jeudi avoir usé à mauvais escient du terme "rigueur" pour désigner les "réformes structurelles" qui devront être engagées selon lui après l'élection présidentielle.
L'entrepreneur a fait grincer des dents au sein du parti présidentiel en écrivant mardi sur son compte Twitter que "le vrai plan de rigueur", après le plan d'ajustement du 7 novembre, interviendrait en France au lendemain du scrutin de 2012.
"Je ne me suis pas rendu compte que le mot 'plan de rigueur' a une connotation très négative dans notre pays. Au niveau gouvernemental, ça veut dire baisse des salaires, des retraites", a-t-il dit sur i-télé.