Date de création : 1905 (SFIO) changement de nom en 1969
Fondateur : Jean Jaurès
Premier secrétaire actuel : Jean-Christophe Cambadélis
Positionnement : Gauche
Nombre de députés : 273/577
Nombre de sénateurs : 109/577
Date de création : 1905 (SFIO) changement de nom en 1969
Fondateur : Jean Jaurès
Premier secrétaire actuel : Jean-Christophe Cambadélis
Positionnement : Gauche
Nombre de députés : 273/577
Nombre de sénateurs : 109/577
En cette fin d'année, de plus en plus de citoyens s'inscrivent sur les listes électorales. Ces nouveaux électeurs pourront voter à la primaire de la gauche en janvier.
Selon un sondage Ifop pour Atlantico.fr, 13% des Français disent manifester "beaucoup" d'intérêt pour le scrutin, et 29% "assez" d'intérêt.
Le directeur de campagne de l'ancien ministre de l'Éducation estime que l'émission consacrée à Manuel Valls ne respecte pas la règle d'impartialité.
L'ancien conseiller en charge des relations avec les élus et les formations politiques a été nommé mercredi, à l'issue du Conseil des ministres, à la Cour des comptes.
Benoît Hamon, candidat à la primaire, estime que le scrutin doit permettre de définir "le visage qui sera celui de la gauche pour les dix ans à venir".
Dans une interview au "Parisien", le candidat à la primaire revendique des influences issues de différentes gauches.
Christophe Borgel, président du Comité d'organisation de la primaire, a confirmé samedi qu'"être candidat aux législatives, c'est soutenir le candidat socialiste à l'élection présidentielle".
Pas retenu par le Comité national d'organisation de la primaire, Gérard Filoche a annoncé qu'il allait déposer un double recours.
La liste définitive des candidats retenus a été dévoilée samedi par le Comité d'organisation de la primaire. Manuel Valls, Vincent Peillon, Sylvia Pinel, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg, François de Rugy et Jean-Luc Bennahmias sont autorisés à participer.
Christophe Borgel, président du comité d'organisation de la primaire, a fait une analogie entre le nombre de candidats retenus et une équipe de handball…
Le député socialiste Patrick Mennucci soutient Vincent Peillon en vue de la primaire organisée par le PS. Selon lui, l’ancien ministre est "le seul à pouvoir rassembler".
Ils sont sept, six hommes et une femme, à s’aligner à la primaire du Parti socialiste et de ses alliés. Avec, évidemment, pas tous les mêmes chances.
En présentant Sylvia Pinel, le PRG a finalement décidé, mercredi, de participer à la primaire organisée par le PS.
Évoquant la situation "intolérable, indigne" à Alep, Manuel Valls a critiqué mercredi le "tropisme pro-russe chez François Fillon" qui ne permettrait pas de préserver "assez l'indépendance de la France".
Le député européen n'aurait pas payé ses cotisations mensuelles pendant deux ans, ce qui met en danger sa candidature à la primaire.
Le PS a engagé une course contre la montre pour être prêt à temps pour le premier tour, le 22 janvier. Mais entre des fédérations lentes à répondre et un manque de sympathisants dans certaines zones, l'organisation du scrutin s'annonce difficile.
Face aux critiques du patron des députés Les Républicains mardi, la ministre du Travail Myriam El Khomri a dénoncé "l'arrogance de la droite".
Alors qu'elle annonçait la semaine dernière son retrait de la primaire de la gauche, la sénatrice de Paris a précisé qu'elle ne choisira pas de se rallier à Benoît Hamon ni à Arnaud Montebourg avant le 22 janvier.
Olivier Faure, le nouveau chef de file des députés socialistes, a estimé mardi que le candidat du parti Les Républicains à la présidentielle semait le trouble après "ses évolutions sémantiques" sur la réforme de l'assurance maladie.
Le député de Seine-et-Marne l'a emporté par 137 voix contre son adversaire le député de Seine-Maritime, Guillaume Bachelay.
La gauche apparaît très désunie alors que se profile la primaire du parti socialiste. Un constat partagé par un "sage" de la gauche, retiré des affaires.
Un Premier ministre qui a poignardé le président, un Hamon idéaliste et un Peillon sorti de nulle part... Pour un ancien dirigeant de la gauche, le spectacle donné par son camp à l'approche de la primaire est "pathétique".
L'ancien Premier ministre et candidat à la primaire de la gauche a aussi mis en avant lundi son programme et son expérience à la tête du gouvernement.
"J'ai des désaccords politiques de longue date" avec Vincent Peillon et Manuel Valls, a rappelé Arnaud Montebourg lundi, sur BFMTV.
Le candidat à la primaire de la gauche est le seul capable "d'incarner un sursaut", écrit la ministre de l'Éducation dans une tribune publiée lundi dans L'Obs.
En déplacement lundi dans l'Aude, l'ancien Premier ministre et candidat à la primaire du PS a repris le slogan de François Mitterrand en 1981.
La maire de Paris a officiellement annoncé lundi son soutien à Vincent Peillon pour la primaire de la "Belle Alliance populaire".
L'ancien Premier ministre aimerait trouver 400.000 euros pour sa campagne de la primaire. En attendant d'accumuler les dons, il serre les cordons de la bourse.
Invité du 20H de France 2, l'ancien ministre a annoncé sa candidature à la primaire de la gauche, les 22 et 29 janvier prochains.
La ministre de l'Environnement estime que le candidat de En Marche ! "amène de l'air à la vie politique" et n'écarte aucune possibilité concernant son choix.