
Interruption volontaire de grossesse -Toute l'actualité sur Europe1.
Interruption volontaire de grossesse -Toute l'actualité sur Europe1.
Afin de limiter les consultations l'hôpital, l'accès à une interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à domicile est à nouveau étendu jusqu'à neuf semaines d'aménorrhée pendant le reconfinement. Cette mesure avait déjà été prise pendant le premier confinement.
Alors que le Tribunal constitutionnel polonais a jugé non conformes à la Constitution les avortements pour cause de malformations du fœtus, la protestation s'organise. Certains Polonais s'inquiètent de voir les avortements clandestins se multiplier, dans des conditions sanitaires faisant courir...
En 2019, le taux de recours à l'Interruption volontaire de grossesse a atteint son plus haut niveau depuis 30 ans, selon la direction de la recherche. Sur Europe 1, jeudi après-midi, le docteur Jimmy Mohamed se penche sur plusieurs questions pour éclaircir les zones d'ombre autour de cette...
Le possible allongement du délai pour avorter, jusqu'à la 14e semaine de grossesse contre les 12 prévues dans la loi, a agité l'Assemblée nationale. Mais la disposition clé du texte a été votée ce jeudi lors d'une séance agitée.
L'Assemblée nationale examine jeudi une proposition d'allongement de deux semaines du délai légal pour avorter, fixé pour le moment à 12 semaines de grossesse en France. "Ça fait longtemps qu'on est confrontés à des femmes qui ont besoin d'avorter hors délai", raconte la gynécologue...
Malgré les protestations de la droite, les députés ont donné un premier feu vert mercredi à une proposition de loi visant à allonger de 12 à 14 semaines de grossesse le délai légal pour recourir à l'avortement (IVG). Les députés ont également voté pour permettre aux sages-femmes de...
D'après les chiffres de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, le nombre d'IVG a atteint un plus haut depuis 30 ans en 2019. Une hausse qui s'explique notamment par la montée d'une défiance vis-à-vis des contraceptifs chez les femmes entre 20 et 29...
Quarante ans de prison avaient été requis contre la jeune femme accusée d'homicide.
Emmenés par le socialiste Luc Carvounas, les signataires d’une tribune publiée par Le Journal du Dimanche s'alarment notamment du recul de l'accès à l'interruption volontaire de grossesse en France.
Chaque dimanche, Bernard Poirette reçoit une personnalité pour évoquer l'actualité culturelle. Aujourd'hui, Aude Mermilliod évoque "Il fallait que je vous dise", sa dernière BD qui aborde notamment son IVG.
La pièce "Hors la loi", mise en scène par Pauline Bureau à la Comédie-Française, retrace l'affaire Marie-Claire Chevalier, en 1972, qui a ouvert la voie à la légalisation de l'avortement en France.
Après l'adoption par l'État de Géorgie d'une loi durcissant l'accès à l'IVG, Netflix a annoncé qu'il pourrait cesser de tourner dans cet État si la loi était appliquée.
La loi bloquée rendait l'avortement illégal dès la sixième semaine de grossesse, "avant le seuil de viabilité du fœtus", selon la justice. Cette loi, la plus contraignante du pays, devait entrer en vigueur au 1er juillet.
À l'occasion de la diffusion du documentaire argentin Que sea ley, des militants des droits des femmes ont gravi les marches avec une banderole réclamant le droit à l'avortement.
Après avoir suscité une vive polémique mercredi, en menaçant de faire la "grève des IVG", le syndicat des gynécologues de France a assuré jeudi qu'il "n'arrêterait pas la pratique des IVG".
La ministre de la Santé a fermement réagi mercredi à la menace d'un syndicat de gynécologues d'"arrêter de pratiquer des IVG" s'il n'est pas reçu au ministère pour faire entendre ses revendications.
"Nous en avons marre de voir comment des femmes sont assassinées en toute impunité et que les sénateurs nous nient le droit à l'avortement", s'insurge une étudiante de 20 ans.
Dans un entretien au Parisien, la secrétaire d’Etat à l’Egalité femmes-hommes confirme également que le gouvernement est en train de plancher sur un allongement du congé paternité.
La tête de liste Les Républicains aux élections européennes explique avoir voulu "relever le niveau de la vie politique française" avec ses déclarations sur l'IVG.
Des milliers de personnes ont défilé dimanche à Paris pour s'opposer à l'avortement et à la future loi bioéthique.
D'après le "Canard enchaîné", les élus de la région Île-de-France ont voté cette semaine plusieurs centaines de milliers d'euros de subventions à des associations présumées proches de la mouvance ultra-catholique.
Interrogé dans la matinale de Nikos Aliagas, l’ancien président de la République a tenu à rappeler son attachement à l'accès à l'IVG, dépénalisé pendant sa présidence.
Dans ce manifeste publié vendredi, les signataires estiment qu'un "danger" pèse sur le droit "essentiel" de l'avortement.
Dans un courrier envoyé jeudi, le président de l'Ordre des médecins rappelle que "les professionnels de santé ont fait vocation d'écoute, d'aide et de soutien à leurs concitoyennes".
La formule du pape sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG) suscite la polémique depuis mercredi. Mais pour ces spécialistes du Vatican, François a employé ce langage depuis son accession au Saint-Siège.
"Se débarrasser d'un être humain, c'est comme avoir recours à un tueur à gages pour résoudre un problème", a déclaré mercredi le pape François. Des propos qui n'ont pas manqué de faire réagir notre éditorialiste Jean-Michel Aphatie.
Le prêtre Laurent Stalla-Bourdillon a tenu sur Europe 1 à "resituer le contexte" de la prise de parole du pape François, qui a comparé mercredi l'IVG au recours à un "tueur à gages".
"Se débarrasser d'un être humain, c'est comme avoir recours à un tueur à gages pour résoudre un problème", a déclaré mercredi le pape lors d'une homélie.
Dans "Le Parisien", une association de sages-femmes plaident dimanche pour le droit de pratiquer des avortements par aspiration, afin notamment de réduire les "inégalités d'accès aux soins".
Dans une interview accordée au "Parisien", Mgr Michel Aupetit juge "terrible" la proposition de loi visant à supprimer la clause de conscience pour les médecins qui refusent de pratiquer l'IVG. Il compare également la mesure à "une forme de dictature".