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Le régime du président Bachar al-Assad bombarde quasi-quotidiennement la Ghouta orientale. La dernière salve a tué au moins 23 personnes, dont quatre enfants.
L'agence officielle Sana a indiqué qu'au moins deux missiles avaient été interceptés et détruits. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme fait lui état de puissantes explosions.
Les bombardements se sont produits dans la Ghouta orientale, qui fait partie des quatre zones de "désescalade" instaurées cette année en vue d'imposer une trêve durable.
Le ministère de l'Intérieur syrien a annoncé qu'un triple attentat suicide a visé le siège de la police de Damas mercredi, faisant au moins deux morts et six blessés.
"Des avions israéliens ont tiré des roquettes sur un dépôt d'armes du Hezbollah, près de l'aéroport", a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.
"Il n'y aura ni coopération de sécurité, ni ouverture d'ambassades" pour les États qui n'ont pas rompu les liens avec les rebelles, a averti dimanche Bachar al-Assad.
Un premier bilan faisait état de cinq mort mais une sixième victime a succombé à ses blessures.
Un terroriste a fait exploser une voiture piégée dans l'Est de Damas. Deux autres attentats ont été déjoués selon les autorités.
Le drone abattu n'a pas causé de dégâts sur les forces de la coalition, selon un porte-parole.
Les évacuations du quartier de Qaboun font suite à celles de deux autres quartiers rebelles de Damas tenus depuis 2012 par les opposants au président Bachar al-Assad.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, un peu plus de 1.400 combattants devraient être évacués de la capitale syrienne majoritairement sous contrôle du régime.
Le 4 avril, un raid aérien a visé Khan Cheikhoun dans la province d'Idleb, faisant 87 morts, dont 31 enfants.
"Le recours au sarin ne fait aucun doute. La responsabilité du régime syrien ne fait pas de doute non plus", a déclaré Jean-Marc Ayrault.
Les rebelles du quartier de Jobar à Damas sont la cible d'intenses raids aériens depuis l'aube par les force du régime de Bachar-al-Assad.
Deux attentats suicide ont visé mercredi l'ancien palais de justice de Damas et un restaurant, faisant au moins 25 morts et plusieurs blessés.
Deux bombes ont explosé samedi dans la vieille ville de Damas, faisant 74 morts dont de nombreux pèlerins chiites.
Europe 1 et TF1 ont rencontré jeudi Bachar al-Assad à Damas pour parler de l'avenir de la Syrie, de la lutte anti-terroriste et de la répression sanglante menée par son armée.
Au lendemain de la suspension du décret migratoire bloquant l'entrée sur le sol américain aux ressortissants de sept pays musulmans, plusieurs familles syriennes se sont envolées pour les États-Unis.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme, des rebelles avaient posé des explosifs dans un tunnel d'Harasta, près de Damas.
L'approvisionnement en eau de Damas est menacé par de nouveaux combats qui ont éclaté. La pompe alimente d'habitude 70% des habitants de la capitale et de la banlieue damascène.
La capitale syrienne a été victime d'un attentat suicide jeudi soir. Bilan de l'attaque : au moins huit morts selon les premiers secours.
Des combats ont lieu dans la région de Wadi Barada, tenue par des rebelles et convoitée par Damas pour ses sources d'approvisionnement en eau potable.
Le cessez-le-feu conclu entre Damas et les rebelles syriens, sous l'égide de la Russie et de la Turquie est historique mais fragile, selon Nicolas Tanzer, professeur de relations internationales à Sciences Po.
Avec le carburant et l'électricité, la capitale syrienne doit se passer d'eau depuis cinq jours. Une pénurie qui provoque des scènes de bousculades lors des distributions.
Un commissariat de police de Damas a été la cible d'une attaque kamikaze vendredi. La ceinture d'explosifs d'une fillette de 7 ans a été actionnée à distance, blessant trois policiers.
Dix-sept personnes ont également été blessées. C'est la deuxième fois en dix jours qu'une école est visée par des tirs d'artillerie en Syrie.
Les ambassadeurs français et britannique François Delattre et Matthew Rycroft ont accusé Damas de "crimes de guerre".
En se basant sur le témoignage de 65 ex-détenus, Amnesty dénonce des actes de torture "généralisés" et des "crimes contre l'humanité".
L'explosion aurait fait "plusieurs blessés", a rapporté l'agence officielle Sana sans plus de précisions.
Pour la première fois depuis des mois, des roquettes ont été tirées depuis des bastions rebelles sur Damas.