Moby est "Destroyed", Dombasle se la joue Diva

© DR
  • Copié
avec Steven Bellery et AFP , modifié à
SORTIES ALBUM - Le musicien américain sort son 10ème album et Arielle Dombasle chante en espagnol.

Une diva latine qui reprend des tubes à la sauce rumba ou salsa, un génie de ma musique électronique qui compose un album pendant ses insomnies ou encore un prince de la guitare à la voix chaude, c'est le programme de cette semaine.

Destroyed, Moby

Le musicien touche-à-tout sort son dixième album studio. Moby décrit lui-même cet opus comme de la "musique électronique mélodique et cassée pour les villes vides à 2h du matin". Il travaillait lors de ses insomnies pendant sa dernière tournée, "alors que le reste du monde était endormi". Puis a terminé les morceaux chez lui, dans son studio, avec sa collection de vieux instruments.

Regardez le clip de The Day :

Give til it’s gone, Ben Harper

Ben Harper signe son retour avec un album très rock, il s'agit pour lui aussi de son 10ème album studio. Les mythiques riffs de guitare de Ben Harper accompagnent donc la voix chaude du chanteur. Il s'est même payé le luxe d'une collaboration avec Ringo Starr, sur deux titres. Ben Harper dédie également une chanson au skate, son sport favori.

Ecoutez Don't give up on me now :

Diva Latina, Arielle Dombasle

Porque te vas, Mala Vida, Hijo de la Luna... Pour son nouvel album, Arielle Dombasle a choisi de chanter en espagnol. Dans Diva Latina, elle reprend 12 chansons - devenues des standards - à la sauce latine, en clin d'oeil à son enfance passée au Mexique.

Regardez le clip de Porque te vas :

La Diva est revenue pour Europe 1, sur les accents latino-américains qui ont nourri son album.

"C'est album pour que les gens dansent" :

Rome, Danger Mouse et Daniele Luppi

Une obsession pour Enio Morricone et les westerns spagettis, et voilà Rome, un album-concept, que l'on doit à Danger Mouse et Daniele Luppi. Le producteur et le compositeur italiens ont réussi à embarquer l'envoûtante Norah Jones et Jack White, une moitié des White Stripes, dans leur projet audacieux. Après cinq ans d'enregistrement, il en ressort 35 minutes de rêverie romaine.

Ecoutez Black, avec Norah Jones :