Fabrizio Ravanelli OM Marseille Football 4:08
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Après avoir échoué à devenir le nouveau directeur sportif de l'Olympique de Marseille, Fabrizio Ravanelli espère toujours retrouver un poste au sein de l'organigramme d'un club français. L'Italien privilégie forcément l'OM mais n'exclut pas les autres formations hexagonales, comme il l'explique au micro d'Europe 1.
INTERVIEW

Il a failli devenir le nouveau "head de football" de l'Olympique de Marseille, sorte de directeur sportif aux pouvoirs élargis entre l'entraîneur André Villas-Boas et le président Jacques-Henri Eyraud. Fabrizio Ravanelli, ancien buteur du club phocéen à la fin des années 1990, a pourtant été devancé par l'Espagnol Pablo Longoria. Au micro d'Europe 1, dimanche soir, l'Italien raconte les coulisses de cet échec et exprime surtout son envie de retrouver la France avec un nouveau challenge, à l'OM ou ailleurs.

Recalé par l'OM

"Mon agent, Yvan Le Mée, a eu un meeting avec le président et il a parlé de moi comme directeur sportif", relate l'attaquant olympien aux 30 buts marqués entre 1997 et 1999. "Ça s'est bien passé et il a proposé ma candidature. Après, le président a fait un autre choix et on doit l'accepter." L'Italien de 51 ans regrette cependant un choix fait pour des raisons plus "politiques" que "techniques".

Après ce refus des dirigeants de son club de "cœur", Fabrizio Ravanelli aspire toujours à retrouver l'OM, un jour ou l'autre. "Je rêve toujours un jour de retourner à l'OM pour apporter mon expérience, mon caractère et mon ambition dans le football", assure-t-il auprès de Lionel Rosso et Jean-François Pérès. "J'espère qu'un jour, ce moment arrivera."

"La France, c'est chez moi"

Mais l'ancien buteur n'évacue pas une arrivée dans un autre club, lui qui a brièvement entraîné l'AC Ajaccio de juin à novembre 2013. "J'espère un jour retourner en France et avoir la possibilité de montrer mon professionnalisme et ma connaissance du football", avance l'ancien de la Juventus Turin. "J'aime la France et la France, c'est chez moi. J'aimerais bien sûr retourner en France."