Depuis le début de la Coupe du monde, les polémiques autour de l’arbitrage se multiplient. Pour diriger France-Honduras, qui commence dans quelques instants, c’est un homme en noir brésilien qui va officier : Sandro Meira Ricci. Et il est loin de faire l’unanimité dans son pays.
Des controverses, Sandro Meira Ricci en a connu quelques unes. En 2010, il a sifflé un penalty inexistant pour le Corinthians, qui offrait alors un succès très important dans la course au titre au club paulista face à Cruzeiro. Le président de Cruzeiro l’avait alors traité de "bâtard". Un an plus tard, c’est Neymar, l’idole de tout un pays, qui l’a insulté, le traitait de "voleur". "Oui, il a commis des erreurs mais depuis un an et demi, il est irréprochable", assurent pourtant les spécialistes de SporTV, la chaîne la plus regardée au Brésil, selon le Figaro.
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