Pâques : le chocolat évolue, et "chacun y trouve son bonheur"

© JEFF PACHOUD / AFP
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Benjamin Lévêque et B.B , modifié à
Si la tradition demeure, les parfums des chocolats ont grandement évolué.

Vous allez, sans doute, ce week-end, croquer des poules ou des lapins en chocolat. Avec les années, la tradition demeure mais la mode évolue. Reportage dans une boutique Léonidas à Paris.

En vitrine, il y a les traditionnels animaux de la basse-cour, les poules, les lapins. Sans oublier les cloches. Bref de véritables petites sculptures. La nouveauté de l'année, c'est cette ganache de tiramisu enrobée de chocolat noir. Et puis les incontournables, les petits œufs emballées de papiers couleurs, sont eux aussi présents, bien sûr.

"Il y a tous les goûts, et chacun y trouve son bonheur". Ceux-là, Philippe, le chocolatier, les laisse depuis quelques jours en libre-service dans sa chocolaterie. Ce qui permet au client de faire son propre choix : "là, vous avez plein de goût : une ganache au citron, une pâte d’amande à la pistache, du praliné au riz soufflé, des crèmes à la vanille, de la pâte de noisette ou du sucre pop, qui plait beaucoup aux enfants car ça pétille dans la bouche. En fait, il y a tous les goûts, et chacun y trouve son bonheur".

Entre 50 et 100 euros de budget par personne. Des classiques qui rassurent. Et puis ce sont ces œufs souvent que l'on cache dans le jardin, comme ce client qui met un point d'honneur à respecter la tradition avec ses petits-enfants : "je vais les cacher et ça va être la grande surprise ! Je vais les mettre dans les arbres, dans les machins (sic) et je pense que la famille sera très surprise car ils ne s’y attendent pas !"

Et même pour du chocolat, la facture peut être salée pour les plus gourmands. En moyenne, comme dit le chocolatier, c'est entre 50 et 100 euros de budget par personne.