Zoé Renault: Verdict le 10 novembre

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Le tribunal de grande instance de Paris va plancher durant trois semaines pour décider si Renault peut baptiser sa future voiture électrique Zoé, sans causer préjudice aux 35.000 femmes ou petites filles françaises qui portent ce prénom. La juge des référés Magali Bouvier a mis sa décision en délibéré au 10 novembre. Quand elles ont appris que la petite berline Zoe serait commercialisée à la mi-2012, deux familles Renault, soutenues par l'association pour la défense de nos prénoms (ADNP), ont engagé une action en justice contre le constructeur automobile afin d'éviter que leurs filles, toutes deux baptisées Zoé, ne fassent l'objet de "moqueries constantes".