La direction du constructeur automobile Renault a démenti vendredi auprès de l'AFP envisager un plan de départs anticipés, alors que la CGT affirme le contraire. "Dans le cadre des négociations GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences ndlr), la direction devrait prochainement annoncer un plan de départ anticipés (...) prenant en compte des critères de pénibilité qui resteraient à négocier", indique la CGT dans un tract syndical. "Il n'y a pas de plan de départ anticipé, ni de plan social", a démenti une porte-parole de la direction du groupe automobile. "On négocie effectivement un accord de GPEC avec les partenaires sociaux en ce moment et dans ce cadre là on étudie les mesures liées à la pénibilité pour les sites industriels", a-t-elle ajouté sans donner plus de précisions sur ces mesures.