Les intrusions de militants de Greenpeace dans les enceintes de deux centrales nucléaires lundi "ne remettent pas en cause la conception des dispositifs de sécurité des sites nucléaires français", a estimé mardi l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
Selon l'IRSN, la protection de ces sites contre les actes de malveillance repose sur un concept de "défense en profondeur": "une succession de barrières de protection matérielles et organisationnelles permet de contrer les agressions (clôtures, contrôles d’accès, parois des bâtiments, vidéosurveillance, systèmes de détection, forces de sécurité, etc.)"