Nîmes: Une employée licenciée par SMS

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Une jeune vendeuse des halles de Nîmes a appris en février 2009 son licenciement par un simple SMS, relate samedi Midi Libre. "Je n'ouvre plus aux halles", lui a laconiquement envoyé son employeur. Depuis, n'ayant eu aucune lettre de licenciement, elle ne peut bénéficier d'aucune allocation chômage, tant que son contrat n'a pas été résilié par les prud'hommes. Mais son procès, fixé au 8 mars, a été repoussé en juin, à cause de la neige ce jour-là, indique encore le journal. La jeune femme lui réclament aussi plusieurs mois de salaires. Ce qu'elle n'a jamais obtenu.