Marignane autorise un monument pro-OAS

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La majorité divers droite (DVD) et les élus UMP du conseil municipal de Marignane (Bouches-du-Rhône) ont approuvé mercredi soir la convention entre la mairie et l'Amicale pour la défense des intérêts moraux et matériels des anciens détenus et exilés politiques de l’Algérie française (Adimad), relate jeudi le site bakchich.info. Cette décision en entraîne une seconde, plus polémique: le retour d'un monument en honneur des ex-OAS, baptisé au fil du temps "la stèle de la discorde". Cité par le journal en ligne, Daniel Simonpieri, conseiller municipal UMP, a revendiqué "le droit de fleurir les héros morts, militaires et civils, et aussi ceux qui ont choisi la voie de l’honneur, combattant ceux et celui qui avaient renié leur parole."