Agnès : un cas "atypique" (E1)

  • Copié
, modifié à

Jean-Marie Angelini, ancien responsable de l'unité pédagogique de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) de Nîmes, chargé du suivi du lycéen mis en examen pour le viol et l'assassinat d'Agnès, a estimé mercredi sur Europe 1 que le jeune homme était un cas "tout à fait atypique". "C'est à bien des égards une situation extraordinaire", a-t-il poursuivi, ajoutant que c'est "au regard des faits et des actes posés qu'il est hors normes".

Pour Jean-Marie Angelini, il n'y a pas eu de dysfonctionnement dans le suivi du jeune homme au niveau de la PJJ. "Nous avons préconisé un certain nombre de choses qui ont été prises en compte", a-t-il affirmé, énumérant l'"éloignement", la "scolarité", l'"accès au soins" et le "suivi éducatif". "Dans cette affaire, nous avons été extrêmement vigilants", a-t-il conclu.