Une quarantaine de sites universitaires perturbés

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Rédaction Europe1.fr , modifié à
Une quarantaine de sites universitaires étaient perturbés mercredi matin par la mobilisation étudiante contre la loi Pécresse, dont 28 bloqués à des degrés divers. Le ministère de l'Enseignement supérieur a comptabilisé avant midi "35 sites universitaires perturbés à des degrés variables" dont "cinq fermés".

Les blocages se poursuivent dans les universités. Le fonctionnement de 41 sites universitaires était perturbé mardi soir par des blocages plus ou moins importants (28), des barrages filtrants (4) ou des fermetures administratives (4). Comme chaque jour depuis le 14 novembre, s'ajoutent à ce compte, cinq universités de la région parisienne, désertés en raison du mouvement de grève dans les transports en commun: Paris X-Nanterre, Paris VIII-Saint-Denis, Marne-la-Vallée, Paris XII-Créteil et Paris XIII-Villetaneuse.

Etaient bloqués à des degrés divers mercredi matin: Amiens, Angers, Aix-Marseille I (site de Marseille), Bordeaux II, Bordeaux III, Caen, Chambéry (lettres et droit), Lille II, Lille III, La Rochelle, Le Havre, Limoges, Metz, Montpellier II, Nancy II, Orléans (sciences humaines), Paris I (Tolbiac), Paris III, Paris IV (Sorbonne et Clignancourt), Pau, Perpignan, Rennes I, Rennes II, Rouen, Toulouse II, Toulouse III, Tours (lettres) et l'IUT de Tarbes.

Etaient fermées administrativement: Aix-Marseille I, Montpellier III, Nantes, Caen (droit).