Jammie Thomas, 30 ans, peut se considérer comme "chanceuse". Le tribunal a en effet fait preuve de "clémence" à son égard en ne la condamnant à payer que 9.250 dollars par chanson illégalement téléchargée et mise en ligne, soit 220.000 dollars pour 24 titres.
Le montant aurait pu s'élever à 150.000 dollars par chanson si le jury avait estimé qu'il y avait violation volontaire du droit du copyright, et à plusieurs millions si elle avait été poursuivie sur chacune des 1.702 chansons trouvées sur son ordinateur.