Frédéric Nihous, candidat Chasse, pêche, nature, traditions (CPNT), regrette que la "noble cause de la ruralité passe à la trappe" dans les médias et chez les sondeurs, et réaffirme sa détermination à poursuivre "son combat", en continuant notamment à "chasser les parrainages".
"Je suis le candidat de la ruralité et de ses 13 millions de Français bâillonnés, oubliés des grandes politiques publiques", explique Frédéric Nihous, dans un communiqué.
"Cette candidature est le fruit d'une longue réflexion sur l'état de cette France rurale et d'un constat alarmiste dont je me rends bien compte en tant qu'élu local (conseiller régional d'Aquitaine et adjoint au maire de mon village béarnais de 560 habitants): la ruralité souffre, enclavée et isolée, elle ne dispose pas des moyens nécessaires à son progrès et son développement, ni du principe d'égalité des chances", relève-t-il.
Pour le candidat CPNT, crédité au mieux de 1% des intentions de vote, "il est gravissime de ne rien faire et d'ignorer le potentiel formidable des forces vives de la ruralité en cette période de crise".
"Or", dit-il, "les médias et les sondeurs n'ont pas pris la pleine mesure de cette situation. Ignorée, déconsidérée, ostracisée, ils ignorent et déconsidèrent cette noble cause de la ruralité qui donc, 'passe à la trappe'".