Marine Le Pen a dénoncé samedi le "silence assourdissant" de la classe politique face aux accusations d'agressions sexuelles portées contre Geroges Tron.
"M. Tron ne peut pas rester une minute de plus ni au gouvernement, ni à la tête de sa mairie, même si ni Nicolas Sarkozy, ni François Fillon n’ont eu la décence de lui demander sa démission, ce dont par ailleurs M. Tron se vante", écrit-elle.
"Laisser M. Tron en place est une insulte quotidienne aux femmes et aux fonctionnaires dont il est le secrétaire d’Etat", estime-t-elle. "Il n’existe pas une entreprise, ni une administration où ces accusations n’auraient pas entraînées une suspension immédiate", indique encore la responsable frontiste.