"Il serait raisonnable de fermer les centrales qui présentent un risque", a estimé mardi l'ancienne ministre de l'Environnement Corinne Lepage, candidate à l'élection présidentielle de 2012. " On connaît les risques existants et on continue à faire fonctionner ces centrales en toute connaissance de cause", a déclaré à celle qui est également avocate de l'Association trinationale de protection nucléaire (ATPN), qui milite pour la fermeture de la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin).