Ecologie : Placé réclame "des mesures d'urgence"

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Réfutant le terme de "menace", Jean-Vincent Placé a pourtant laissé planer le doute quant à la poursuite de la participation de son parti, EELV, au gouvernement. "On verra", a-t-il glissé sur Europe 1 lundi matin. "C'était une première année sans écologie. Il faut que des mesures d'urgence soient prises", a réclamé le sénateur.

Lesquelles ? "La confirmation de la fermeture de la centrale de Fessenheim à l'automne", un changement de "la fiscalité écologique" et l'amorce de la "transition énergétique". Si ça ne va pas dans ce sens au bout de 18 mois, ce n'est pas une menace, mais on ne pourra pas rester [au gouvernement]", a-t-il jugé.