«Quelle époque !» : Léa Salamé dévoile enfin les premiers invités de la saison

Léa Salamé
Léa Salamé a dévoilé le nom de certains de ses invités de demain soir dans "Quelle époque !" © France 2
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Solène Delinger
Invitée dans "Culture Médias" ce vendredi 8 septembre, Léa Salamé a accepté de dévoiler le nom de certains invités de la grande première de "Quelle époque !" samedi soir. La star du PAF recevra notamment Gérald Darmanin. Léa Salamé recevra également deux acteurs autour de sa table : Kad Merad et Jacques Weber. Les téléspectateurs découvriront donc le casting intégral de l'émission demain soir. 

C'est bientôt la rentrée pour Léa Salamé et sa joyeuse bande de Quelle époque !. La journaliste reprend les commandes de son talk-show samedi soir sur France 2. Invitée au micro de Culture Médias ce matin, à la veille de sa grande première, la star du PAF a accepté de dévoiler le nom de certains de ses invités. "Je ne peux pas vous dévoiler tous les invités", a prévenu Léa Salamé en préambule avant d'en dire un peu plus : "Il y aura Gérald Darmanin. Et on est content de l'avoir puisque c'était un peu l'homme de la rentrée. Tout le monde a parlé de lui, de sa déception de ne pas avoir été Premier ministre, de comment il va se positionner pour 2027, de ce que Sarkozy a dit de lui etc... Il n'a pas fait de médias alors qu'on le voulait tous en matinale et il a finalement choisi Quelle époque !", s'est réjouie la journaliste face à Thomas Isle. 

 

Léa Salamé et son étiquette de journaliste politique

Léa Salamé recevra également deux acteurs autour de sa table : Kad Merad et Jacques Weber. Les téléspectateurs découvriront donc le casting intégral de l'émission demain soir. Au micro de Thomas Isle, Léa Salamé est également revenue sur le succès de l'émission, lancée la saison dernière et suivie par plus 1,2 million de téléspectateurs. La journaliste ne s'attendait pas du tout à de tels scores… "Je doutais énormément", a-t-elle d'abord confié.

"Là, si on fait un retour en arrière, l'été dernier, Christophe Dechavanne m'expliquait : 'Soyons clairs, si ça ne marche pas sur les deux premières, c'est mort'", s'est-elle ensuite souvenue avant d'expliquer avoir eu peur de ne pas pouvoir se libérer de son étiquette de journaliste politique. "On me disait que j'étais trop journaliste, trop politique. On pensait que je n'étais pas assez samedi soir. Et finalement j'ai pu montrer qu'il n'y avait pas que la journaliste politique, que j'étais capable d'être sympa aussi."