Nikos Aliagas : "Le public a toujours raison"

  • Copié
Nikos Aliagas était l'invité de Jean-Marc Morandini vendredi matin pour parler de la fête de la musique sur TF1.

Nikos Aliagas présente "La chanson de l'année" sur TF1 vendredi soir, à quelques jours de la fête de la musique. "On parle beaucoup de foot en ce moment, c'est un peu une contre-proposition", précise l'animateur. 'La chanson de l'année', en direct des arènes de Nîmes va donc élire le tube qui a marqué les esprits en 2016. Louane, Kenji ou Amir font partie des nominés.

"Le public a toujours raison". Quelques heures avant cette grande émission, Nikos Aliagas, invité du Grand direct des médias a évoqué la pression d'un tel événement lorsqu'on est animateur. "On n'a pas les jambes qui tremblent mais on est très précis dans la façon de répéter", explique-t-il. "C'est une soirée qui est très longue, qui peut être aussi inattendue. On peut vivre des choses qui n'étaient pas prévues au conducteur. Donc il faut s'adapter à chaque fois. On attend beaucoup de monde et le public a toujours raison. Quand on est devant 100.000 personnes c'est encore plus vrai", conclut celui qui s'est imposé comme un véritable homme de scène.  

"J'aimerais rester sur Europe 1". "Je voudrais continuer l'aventure sur Europe 1", confie par ailleurs Nikos Aliagas, en pleine période de mercato des médias. "C'est une radio qui plaît", confirme celui qui anime chaque samedi, de 11h à 12h30, Sortez du cadre. "Ça va faire six ans que je suis sur Europe 1. Tout me tente à partir du moment où je peux le faire". Nikos Aliagas pourrait-il être intéressé pour reprendre la tranche de Cyril Hanouna ? "Après on discute, c'est une histoire de planning, de concept, de dynamique." 

Sur TF1, l'aventure de l'access. TF1 a proposé la présentation d'un magazine au mois de juillet à 19 heures, chaque jour, à Nikos Aliagas. "C'est une sorte de test en direct. Ils m'ont dit que je faisais partie des soldats de la chaîne", explique l'animateur. "L'access ne me fait pas peur. Je viens de l'access, souvenez-vous, huit ans de Star Ac'. Quand je suis arrivé à TF1, j'ai commencé à travailler sur des projets qui n'existaient pas. Je suis un gars de pari.  "