Troubles de la fertilité : une nouvelle cause

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avec AFP

Un nouveau facteur dans le contrôle de la fertilité vient d’être identifié au niveau du cerveau, et sa défaillance provoque un retard pubertaire ou une hypofertilité voire une puberté précoce, selon des chercheurs de l'Inserm.

L'équipe dirigée par Vincent Prévot de l'Inserm montre en effet qu'une hormone, la prostaglandine E2, libérée dans le cerveau par des cellules nourricières, situées dans l’environnement des neurones, est indispensable pour déclencher le processus aboutissant à l’activation des fonctions de reproduction (ovulation, etc.).