Bernard Kouchner a salué la libération d'Aung San Suu Kyi samedi, mais il a souligné "qu'il ne s'agissait en rien d'une mesure de clémence de la part de la junte birmane, sa peine devant arriver à son terme le 13 novembre". "Aung San Suu Kyi ne sera pleinement libre que si elle est libre de ses mouvements et de ses activités politiques", a ajouté le ministre des Affaires étrangères. Le chef de la diplomatie française a également demandé la "libération immédiate et complète" des autres prisonniers politiques en Birmanie.