La Chine a remis en liberté trois Japonais dont la détention attisait les tensions avec Tokyo, mais un quatrième est resté incarcéré, rapporte jeudi l'agence de presse officielle Chine nouvelle. Le ministre japonais des Affaires étrangères, Seiji Maehara, a demandé la libération rapide du quatrième de ses concitoyens. Lors de leur arrestation, les employés du groupe Fujita ont été accusés d'être entrés sur une zone militaire interdite. La remise en liberté de trois d'entre eux survient après des signes de relatif apaisement dans les relations entre la Chine et le Japon, après des tensions liées à une collision en mer au large d'un archipel revendiqué par les deux pays.