Damas a mis en garde l'Otan, qui doit discuter mardi de l'avion turc abattu vendredi par l'armée syrienne, que son territoire était "sacré", au cas où la réunion discuterait d'une "agression", selon le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Jihad Makdessi.
"Si la réunion est pour calmer la situation (...), nous leur souhaitons bonne chance. Mais si l'objectif est une agression, nous leur disons que le territoire, l'espace aérien et les eaux syriens sont sacrés pour l'armée syrienne", a affirmé Jihad Makdessi lors d'une conférence de presse.