"La majorité de ceux qui ont voté a condamné la politique de M. Papandréou et tous ceux qui se sont abstenus ont rejeté son chantage", a déclaré Antonis Samaras, chef de l'opposition conservatrice. D'après des estimations officielles, le Parti socialiste de Georges Papandréou s'est pourtant imposé dans sept des 13 régions du pays. Le Premier ministre avait menacé de démissionner si les électeurs rejetaient sa politique d'austérité, mise en œuvre en échange d'un soutien financier de l'Union européenne et du Fonds monétaire international.