Goldman Sachs: Pas de préjudices en France

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Christine Lagarde a déclaré mercredi qu'il n'y avait pas, en première analyse, de client français ayant subi un préjudice en liaison de l'affaire Goldman Sachs. "En première analyse, ce que m'a indiqué le président de l'AMF, Jean-Pierre Jouyet, c'est qu'il n'y avait pas de contrepartie française", a-t-elle affirmé, précisant qu'un rapport définitif de l'Autorité des marchés financiers (AMF) sera rendu en avril. "Il n'y a pas de réflexion sur une éventuelle rupture de liens de travail sur des opérations du Trésor français avec Goldman Sachs", a ajouté la ministre de l'Economie.